Le den nom n’apporte rien en France. La dernière fois que j’ai pris un sua da à Paris, il m’a serré le bide: manque d’habitude ou mauvais breuvage, je me pose encore la question.
Ici ou ailleurs, le café den nom est un breuvage épouvantable, tellement fort que la cuillère pourrait s’y désintégrer. D’ailleurs celui sur la photo, servi dans une coupelle remplie d’eau chaude, aura été le premier et le dernier que j’aurai bu, lors d’un premier séjour à Hanoi. Surpris par la pluie, je me suis réfugié dans sous la bâche d’un café de rue et y ait commandé un café… que j’ai mis 30 minutes à avaler, tellement il était concentré.
Par contre j’ai toujours grand plaisir à retrouver le café den da en venant au Vietnam… certainement parce qu’il se dilue avec la glace fondue…
Le den nom n’apporte rien en France. La dernière fois que j’ai pris un sua da à Paris, il m’a serré le bide: manque d’habitude ou mauvais breuvage, je me pose encore la question.
Ici ou ailleurs, le café den nom est un breuvage épouvantable, tellement fort que la cuillère pourrait s’y désintégrer. D’ailleurs celui sur la photo, servi dans une coupelle remplie d’eau chaude, aura été le premier et le dernier que j’aurai bu, lors d’un premier séjour à Hanoi. Surpris par la pluie, je me suis réfugié dans sous la bâche d’un café de rue et y ait commandé un café… que j’ai mis 30 minutes à avaler, tellement il était concentré.
Par contre j’ai toujours grand plaisir à retrouver le café den da en venant au Vietnam… certainement parce qu’il se dilue avec la glace fondue…