5 minutes avant de partir, Gérard et moi constatons que nous ne maitrisons pas du tout le nœud de cravate. Inutile de compter sur Alexandre pour la nouer. Grâce à internet, après trois essais l’objet pend à; mon cou de façon acceptable.
Dans le taxi, sur la route de l’ambassade, je découvre la robe indienne d’Elsa. La mariée est ravissante !
On retrouve la famille et les amis devant l’ambassade.
L’ambassadeur nous marie, assisté d’une Marianne en porcelaine de Sèvres…