Rappel de la première phase ici…
On retrouve les bâches presque dans l’état. L’une a souffert du frottement et s’est décalée, mais ce n’est pas la catastrophe.
Au printemps, le chantier était interrompu tous les jours pas un orage qui nécessitait de garder le bâchage toujours prêt.
En aout ce sera plus simple de ce côté, on essuiera deux gros orages seulement en deux semaines, dont un bâché et un autre avec le toit fini.
Donc reprise du chantier par la reprise des lauzes de rive côté gauche, qui ont souffert du démontage. Ces Lauzes sont énormes et tiennent comme un château de carte, du fait que j’ai du les soulever pour enlever le goudron au démontage. Tout est déstabilisé.
Je commence par reprendre ces lauzes de rives en les démontant jsuq’à trouver les pierres stables et calage, remontage, avec un coup de mortier.
Ensuite pose, calage des lauzes du bas. A raison de 3 heures max de chantier par jour (vacances et chaleur obligent), je fais un rang pas jour. C’est long et lourd !
Descente à la ville pour se fournir en matériel, en particulier la fameuse lisse de faîtière et le closoir aéré. La pose est compliquée (clous de lisse aps assez grands, je dois surélever la lisse), je m’y reprends à 2 fois.
Je dois aussi terminer l’accroche de la zinguerie autour des velux.
Pose du dernier lé de textile pare goutte, en essayer de garder un angle suffisant pour l’écoulement.
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C’est vraiment une bonne chose de faite.Un bon assainissement.
Le rendu est au top.
Je suis toute émue.