Cette été, le chantier entrepris à l’automne autour des premiers châtaigners à continué, avec la reconstruction de 5 mètres linéaires de murette. Un trou comblé et deux effondrements complets remontés, tant bien que mal car la roche porteuse était pourrie à certains endroits. Les murs alentours d’origine sont de moins bonne qualité que plus haut, le principal étant de maintenir la terrasse ! Cette année c’est surtout Elsa qui a monté les murs, très motivée et patiente.
Plus bas encore, nous avons continué à ouvrir les bancelles pour y planter des fruitiers dans les années à venir. Les arbres sont hauts et très imbriqués, la tâche est ardue pour les faire tomber. Les taons, moustiques et mouches s’invitent à la fête et le chantier est vite un enfer !
Un autre mur à été repris, plus loin encore sur le bas du terrain (à Châtaigniers, vers l’Ouest), un effondrement fixé. Pas d’image et chantier pas terminé à notre départ. La rustine devrait fixer ce joli mur qui borde le bas des châtaigners !
Plus haut au -4, on a continué à abattre les arbres en bordure Est. On a encore gagné quelques degrés de vue sur la plaine.
Mise en place d’un arrosage automatique pour le pommier. Le système, adapté à une pression nulle, fonctionne sur pile. Je crains qu’il ne passe long feu sous le soleil de montagne. Déjà au boit d’une semaine, le capot s’était soudé au boîtier ! Protégé avec une tuile romaine, mais faut pas que les sangliers s’en mêlent et chamboulent tout !
Et construction d’un abri à bois, pour avoir du bois sec à l’automne. Je m’y suis mal pris, c’est assez moche mais ça va faire le job !