Le 5 mars, chantier d’une après-midi avec Daniel, tous les deux à la tronçonneuse. Grande efficacité. Chantier numéro 1. 3 pleins de tronçonneuse chacun. Les saules avaient pris le terrain.
Le 6 mars, seul l’après-midi, de 14h à 18h30, jusqu’à la nuit. Un peu pluvieux en fin de journée. Toujours chantier numéro 1, au fond et vers l’est. Passage de la montagne de ronces au centre, pour atteindre la seconde section de chênes, jusqu’au fond où il y a des merisiers. Puis vers l’est, section découverte il y a deux ans. C’est la limite vers l’Est, plus aucun plant ne subsiste après.
Coupe des frênes qui atteignent 10 mètres de haut. Le chantier a une sacrée gueule de champs de bataille. Les ronces forment une nappe de 1 bon mètre de haut. Je ne vais pas y toucher, car elles ferment le sol aux essences non désirées, une fois que les chênes en sont sortis ! Trois pleins de tronçonneuse passés.
Le 8 mars, journée complète de 10h à 18h30. Daniel m’a rejoint l’après-midi. J’ai continué à nettoyer au fond, et à l’Est. Tandis que Daniel a dégagé vers le centre Ouest, au delà de la mare. En fin de journée il est aussi passé vers les noyers au bord du chemin traversant, il n’en a trouvé que 3. Il faudra y passer la débroussailleuse.
Ce jour j’ai aussi nettoyé une allée pour rentrer facilement dans la parcelle, mais pas jusqu’au fond.
Une fois les arbres dégagés des essences gênantes (saules et frênes, stenkwieldla, noisetier, …), la suite du chantier serait de réaliser une taille des loups et branches inadaptées. Il serait dommage de laisser les arbres grandir avec des défauts qu’on pourrait corriger aujourd’hui !